Rolls Royce et diable de Tasmanie
Salut, cher membre de la BMC Fam ! Tu l'as peut-être remarqué. Pour faire la différence au (très) haut niveau, il y a deux manières qui se distinguent : s'adapter, ou se spécialiser. Dans le premier cas, un Karim Benzema n'a pas hésité à faire le dos rond pendant plusieurs saisons au Real, mettant de côté son profil de pur "9" (et son ego avec) pour orienter le jeu vers Cristiano Ronaldo. Des efforts qui ont fini par payer avec un Ballon d'Or une décennie plus tard. Dans le cas contraire, un certain Arjen Robben a conservé le même style toute sa carrière, mais est parvenu à si bien gérer sa "spéciale" sur l'aile droite que même les défenseurs qui l'anticipaient n'arrivaient pas à le stopper. Dans un autre registre, un Olivier Giroud doté de moins de qualités intrinsèques, à reussi à maîtriser l'art du pivot. Et l'expression "dévoreur d'espaces" à même été inventée pour trouver une qualité à ce bon vieux Thomas Müller. Bref, s'adapter, ou se spécialiser, les deux marchent. Mais il faut bien faire son choix... Au menu : - Le "cas Müller" - Trop d'adaptabilité... tue la qualité ? - Se spécialiser... pour mieux régner ? - Une Rolls Royce à Newcastle et un Diable de Tasmanie en Norvège - Pas de défauts, que des "non-talents" ! Belle écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.