Affaire François de Grossouvre - 2/2 - Les incohérences d'une enquête bâclée
Quand Daniel Cerdan, garde du corps de François de Grossouvre, pousse la porte du bureau de son patron au premier étage de l’Élysée, il se fige et reste sans voix. La personne qu’il doit protéger est là, assise à son bureau, le buste penché en avant, un trou béant dans la tête et un révolver 357 Magnum dans la main droite. Il est 19h50 ce 7 avril 1994, François de Grossouvre vient de se suicider et il n’a rien pu faire pour l’en empêcher. Mais pourquoi n’a-t-il pas entendu la détonation, alors qu’il se trouvait dans le bureau voisin ?… Dès les premiers instants, l’affaire soulève une multitude de questions et devient mystérieuse. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.