Idée reçue N°9 : Les victimes sont toujours issues de milieux défavorisés

Idée reçue N°9 : Les victimes sont toujours issues de milieux défavorisés

Contrairement aux idées reçues, les violences conjugales ne sont pas un problème de classes sociales : elles concernent aussi bien les intellectuels, les beaux quartiers, les CSP+ que les milieux populaires. Les chiffres et les témoignages le prouvent, personne n’est épargné. Magistrates, actrices, cheffes d’entreprises, médecins ou cadres supérieures… aujourd’hui, elles sont de plus en plus nombreuses à oser parler ou porter plainte, malgré la loi du silence, le sentiment de honte et de culpabilité, la peur du déclassement et de l’isolement 

Pour déconstruire ce cliché, Julie Mamou-Mani est entourée de trois spécialistes de la question : Isabelle Rome, ancienne ministre déléguée chargée de l’égalité hommes/femmes, Hélène Romano, docteure en psychopathologie, droit privé et sciences criminelles, ainsi que Laurène Daycard, journaliste, autrice notamment de Nos absentes, À l'origine des féminicides.

Si vous doutez de ce que vous vivez, faites le test créé par Sarah Barukh « Suis-je victime de violences conjugales » sur www.125etaprès.org 

Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Om Podcasten

10 épisodes pour identifier et argumenter contre les 10 principales idées reçues sur les violences au sein du couple qui freinent l’identification, la prise de conscience du danger et donc la prévention. Le podcast a été pensé par Sarah Barukh, auteure de 125 et des milliers et est animé par Julie Mamou-Mani entourées de spécialistes du sujet : médecins, avocats ou encore associatifs.

Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.