Frédéric Beigbeder: " J'ai commencé à écrire lorsque j'étais enfant, pour rendre éternel ce qui n'était que provisoire".

Frédéric Beigbeder a passé une partie de sa vie à boire des cocktails trop chers dans des clubs trop tard, à tomber amoureux trop vite, à le regretter trop tôt et à l’écrire trop bien. Il a cette élégance un peu froissée des gens qui en ont vu passer, une ironie tendre et l’œil de celui qui observe le monde comme s’il allait disparaître demain matin. A son contact on sent qu'on peut être soi même et parler de tout. Et justement, cet après midi là, nous avons parler de Milady et des femmes fatales dans la fiction, de la forme souvent plus importante que le fond à ses yeux, de sa collection de phrases, mais aussi de son père qui était peut-être agent secret, des carnets qu'il remplissait pour raconter sa vie d'enfant, de la friendzone, de ses enfants, de la publicité, du mensonge et des excès. Tout cela et bien plus encore c'est à découvrir dans cet épisode intelligent et tendre. Générique composé par Jean Thévenin Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Om Podcasten

Le monde change. Le mouvement #metoo et tous ceux qui ont suivi depuis, tendent à rebattre les cartes d'une société dans laquelle les femmes et les hommes n'ont ni la même place ni les mêmes droits. Il était temps, et il reste du chemin. Mais parce qu'il existe des hommes bien, des hommes courageux et solidaires des femmes, j'avais envie de leur tendre un micro. Pour les entendre nous raconter leur vie et ce qui les a fait grandir et devenir des hommes justes. Pour les entendre nous raconter les enfants qu'ils étaient, mais aussi la société qui les entoure aujourd'hui et les femmes qui ont croisé leur chemin. Enfin, pour essayer de comprendre comment nous pourrons ensemble, hommes et femmes, construire le monde de demain. Monde dans lequel nous ne vivrons pas j'espère les unes contre les autres. Alors tant qu'il y aura des hommes bien, je les recevrai ici. Je m'appelle Julia Molkhou, j'ai 38ans. J'ai la chance d'avoir un père formidable, trois frères merveilleux et deux fils, qui nous l'espérons- ma mère et moi- deviendront à leur tour des hommes bien. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.