Clémentine, panama et praline : quand les noms propres deviennent des choses
Un livre que j'ai reçu cette semaine m'a rappelé une petite histoire qui m'est arrivée avec mon fils préféré (et unique, coucou Robin !). C'était il y a bien longtemps, quand il avait 6 ou 7 ans ; un jour, il m'a demandé qui avait "décidé" les mots. "Pourquoi une patate, par exemple, ça s'appelle une patate, et un couteau ça s'appelle un couteau ?", avait-il précisé.